L’infection est souvent asymptomatique.
Toutefois, M. genitalium est retrouvé dans 10 à 30 % des cervicites cliniques et dans 2 à 20 % des infections génitales hautes de type endométrite et salpingite. Les cervicites se manifestent par une leucorrhée, des saignements post-coïtaux, des saignements douloureux intermenstruels et/ou une dysurie. M. genitalium pourrait aussi être associé à des stérilités tubaires, mais le lien de causalité n’est pas formellement établi.
Enfin, chez la femme enceinte, il pourrait être responsable d’accouchement prématuré, d’avortement spontané ou d’endométrites du post-partum.
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