Mycoplasma genitalium : association aux maladies chez l'homme | Eurofins Biomnis

M. genitalium est responsable de 15 à 20 % des urétrites non gonococciques (UNG), de 20 à 25 % des UNG non chlamydiennes et de 30 % des urétrites persistantes ou récurrentes. Au plan clinique, l’urétrite se manifeste par un écoulement urétral et une dysurie avec difficultés mictionnelles et sensation de brûlure à la miction.

M. genitalium est la 2e cause d’UNG après C. trachomatis, la co-infection n’étant d’ailleurs pas rare. Il pourrait également être responsable d’infections hautes, de type épididymites et prostatites, mais le lien de causalité n’est pas parfaitement établi.

Autres articles sur le thème

Mettez à jour votre navigateur pour consulter ce site

Mettez à jour votre navigateur pour consulter ce site