Campus Endocrinologie – Eurofins Biomnis

Diagnostic et prise en charge d’une hyperprolactinémie

Le dosage de la prolactine fait partie du bilan hormonal systématique chez une femme ayant un trouble du cycle et/ou une galactorrhée, et, chez l’homme, devant une gynécomastie, un trouble de l’érection ou une diminution de la libido. La découverte d’une hyperprolactinémie, une fois contrôlée, doit entraîner une démarche diagnostique rigoureuse, pour instaurer un traitement adapté.

 

Qu’est-ce que la prolactine ?

Zoom sur la prolactine, ses formes circulantes et de ses effets physiologiques avant d’aborder les indications de son dosage.

 

Diagnostic d’une hyperprolactinémie

Qu’est-ce que l’hyperprolactinémie ? Nous vous proposons de faire le point sur la démarche diagnostique à adopter devant une hyperprolactinémie en s’attardant sur le diagnostic biologique et son interprétation.

 

Traitement d’une hyperprolactinémie

 

Tour d’horizon des traitements d’hyperprolactinémie : traitement des prolactinomes, des hyperprolactinémies médicamenteuses et des macroprolactinémies.

Syndrome de Cushing et insuffisance surrénalienne : Aide à la prescription des examens biologiques

Les pathologies de la corticosurrénale sont rares, mais potentiellement graves. Le diagnostic d’une insuffisance surrénalienne ou d’un syndrome de Cushing repose en première intention sur des dosages statiques de cortisol et des tests dynamiques simples, permettant d’évaluer la sécrétion cortisolique.

Qu’est-ce que le syndrome de Cushing ?

Le syndrome de Cushing correspond à l’ensemble des manifestations cliniques dues à une exposition prolongée à un excès de glucocorticoïdes.

Qu’est-ce que l’insuffisance surrénalienne ?

L’insuffisance surrénalienne (IS) est une pathologie rare (1/10 000 habitants) mais potentiellement grave, en raison du risque de décompensation en IS aiguë, létale en l’absence de traitement rapide et adapté. L’insuffisance surrénalienne chronique est probablement sous-estimée, notamment dans sa forme secondaire à une corticothérapie prolongée. Or, sa prise en charge permet d’éviter le risque de complication en IS aiguë et d’améliorer la qualité de vie des patients. D’où l’intérêt d’en poser le diagnostic.

Quel bilan biologique pour le diagnostic de syndrome de Cushing ou d’insuffisance surrénalienne ?

Lorsque l’on suspecte une insuffisance corticosurrénalienne (IS) ou un syndrome de Cushing, les dosages à réaliser pour explorer en première intention l’axe corticotrope (cortisolémie, cortisolémie après test au synacthène, cortisol salivaire, cortisolurie) sont détaillés dans cet article.

Hirsutisme Hyperandrogénie : Aide à la prescription des examens biologiques

Le syndrome d’hyperandrogénie (SHA) regroupe un ensemble de manifestations de gravité variable dont le plus classique est l’hirsutisme. Il est associé à de nombreuses étiologies dont l’identification repose principalement sur un examen clinique bien conduit et le dosage de paramètres hormonaux simples (testostérone/ delta4 androstènedione/ SDHEA/ 17OH progestérone).

 

Qu’est-ce que l’hirsutisme ?

L’hirsutisme est la manifestation clinique la plus fréquente et caractéristique du SHA, ne touchant que les femmes : elle correspond à une hyperpilosité se développant dans des zones où elle est normalement absente : visage, thorax, ligne blanche, région fessière, pli intergénitocrural, face interne des cuisses.

 

Quel bilan biologique de l’hirsutisme prescrire ?

Afin de vous accompagner au mieux dans votre pratique, nous vous proposons un bilan biologique hirsutisme de référence et un logigramme décisionnel

 

Tout savoir sur la biologie de l’hirsutisme …

Plusieurs ressources sont mises à votre disposition pour en savoir plus sur cette thématique, dont un webinaire « Mieux comprendre l’hirsutisme, l’hyperandrogénie et les tests biologiques associés » du Dr Jean-Marc Vandernotte, médecin biologiste chez Eurofins Biomnis.

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